Intelligence artificielle

Cette jeune pousse veut aider les centres à valoriser leurs données d’imagerie

Créée en 2021, la société Rhisa propose aux centres d’imagerie de structurer et indexer leurs bases de données afin de faciliter leur exploration et leur exploitation, notamment pour la recherche. Elle s’appuie sur l’analyse des comptes rendus par un système de traitement du langage naturel.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 17/12/21 à 16:00, mise à jour hier à 15:10 Lecture 2 min.

Les trois fondateurs de Rhisa, Sebastian Tavolaro (à gauche), radiologue, Pierre Campredon, ingénieur et Amine Bouamama, data scientist (absent de la photographie), ont obtenu l'un des prix « Innovation start-up » des Journées francophones de radiologie. © J. H.

Son concept lui a valu un « prix innovations start-up » aux Journées francophones de radiologie 2021. Fondée début 2021, l’entreprise française Rhisa se positionne comme un relais entre les centres qui produisent des données d’imagerie et les développeurs qui en ont besoin pour la recherche et le développement, notamment en intelligence artificielle. Le principe : structurer et indexer les bases de données des centres, images et comptes rendus, afin de le rendre plus facilement « cherchables » et valorisables pour la recherche. « C’est comme créer un annuaire géant des images et des comptes rendus présents dans les bases de données, résume Sébastian Tavolaro, radiologue à l’hôpital privé d’Antony (92), directeur médical et cofondateur de la société.

Écarter les données inutiles

Grâce à cette structuration, qui s’appuie sur une analyse des comptes rendus d’examens par un algorithme de traitement du langage naturel, les utilisateurs peuvent extraire avec facilité les dossiers dont ils ont

Il vous reste 67% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

23 Juil

7:19

Des séquences 3D isovolumétriques pondérées en T1 et en T2 du cerveau et du corps, sont au minimum recommandées en IRM post-mortem, suite à une enquête menée entre juillet à novembre 2024, par le groupe de travail post-mortem de la Société européenne de radiologie pédiatrique.
22 Juil

16:00

L'intensité maximale du signal dans les images cliniques pondérées T1 est associée à des concentrations de gadolinium plus faibles avec le gadopiclénol qu'avec les autres produits gadolinés, quelle que soit l'intensité du champ (étude).

14:00

La Société européenne de radiologie pédiatrique publie ses recommandations sur le protocole clinique d'IRM post-mortem fœtale et néonatale. Au minimum, des séquences isovolumétriques 3D pondérées en T1 et T2 du cerveau et du corps doivent être réalisées (étude).

7:30

Dans une décision du 22 mai 2025, l’Union nationale des caisses d’assurance maladie (UNCAM), modifie la liste des actes médicaux pris en charge. Parmi les changements : la prise en charge à 100 % d’un scanner thoracique pour le dépistage du cancer du poumon, et l’inscription provisoire d’actes de destruction de lésion de la prostate par ultrasons focalisés de haute intensité (HIFU).
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR