À l'occasion de la journée de printemps de la Société d’imagerie abdominale et digestive (SIAD), organisée à l'hôpital européen Georges-Pompidou (Paris), le 1er avril, Marc Zins a détaillé différentes manières d'aller plus vite en IRM. Il s’est notamment intéressé à deux séquences particulières : le compressed sensing, ou acquisition comprimée, et la reconstruction d'image par apprentissage profond, ou deep learning reconstruction.
Améliorer l'expérience patient
« Pourquoi aller plus vite ? », s'interroge d'emblée le chef du service de radiologie de l'hôpital Saint-Joseph (Paris). Si l'approche marketing des constructeurs met en avant l'augmentation de productivité qui en découle, Marc Zins préfère mettre l’accent sur le gain de confort pour les patients. « Accélérer l'acquisition IRM améliore l'expérience patient, avec notamment des apnées plus courtes. Encore aujourd'hui, une IRM du pancréas prend 40 à 45 minutes à l'hôpital Saint-Joseph. Quand les patients sortent, ils sont essorés !
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