Des médecins de l’université du Wisconsin, aux États-Unis, ont comparé la précision diagnostique de l’IRM injectée et celle du scanner injecté pour l’évaluation de l’appendicite aiguë chez les enfants et les adolescents. Ils ont publié les résultats de leur étude dans la revue American Journal of Roentgenology [1].
L’IRM comme alternative au scanner
Le scanner est communément utilisé pour poser le diagnostic d’appendicite. Cependant, l’exposition aux rayonnements ionisants étant particulièrement problématique pour les enfants, les modalités non irradiantes que sont l’échographie et l’IRM ont été suggérées comme des alternatives. Les critères de pertinence de l’American College of Radiology recommandent l’échographie comme première modalité d'imagerie pour examiner les enfants de moins de 14 ans pour suspicion d'appendicite. Contrairement à l’IRM, l’échographie est une modalité très accessible. Ses performances sont toutefois variables en fonction des compétences de l’opérateur. « Par con
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