Le 2e Congrès national d’imagerie du vivant - les 8 et 9 novembre à Paris - ne pouvait pas faire l'impasse sur la question de la radiomique. Cette approche d’étude des mécanismes pathologiques semble en effet incontournable ces dernières années. « Il s'agit d'une quantité que l’on calcule à partir d’une image, a expliqué Irène Buvat, chercheuse en imagerie moléculaire au CEA, lors de la session d'ouverture du 8 novembre. Cette quantité peut être le maximum ou la moyenne dans la région d’intérêt. Cela peut être aussi une quantité dérivée de l’histogramme des valeurs dans cette région d’intérêt, un paramètre de texture qui va caractériser la distribution spatiale des valeurs dans la région d’intérêt ou encore un paramètre de forme qui va caractériser la forme de la région d’intérêt déterminée par des méthodes manuelles ou semi-automatiques à partir des images. »
La quantification change de nom
La radiomique repose sur l’utilisation de caractéristiques pour construire des modèles prédictifs
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