Le scanner et l’angioscanner complètent bien l’autopsie, mais ne la remplacent pas dans l’évaluation post mortem des blessures liées aux chutes ou aux accidents de la voie publique. Voilà qui pourrait résumer les débats de la session sur « l’apport du scanner post mortem dans les traumatismes à haute cinétique », organisée ce samedi 13 octobre aux Journées francophones d’imagerie médicolégale. Un rendez-vous hébergé par les Journées francophones de radiologie, et préparé en commun par la Société française de la radiologie (SFR) et la Société française de médecine légale (SFML), qui collaborent au sein d’un Groupe de recherche en autopsie virtuelle et imagerie thanatologique.
Les « pièges » du scanner post mortem
En ouverture de séance, Claire Boudinaud, interne à Clermont-Ferrand, a présenté une étude sur l’efficacité du scanner sans injection avant autopsie. En la matière, prévient-elle, il convient d’éviter quelques pièges courants : « Les aspects scanographiques post mortem normaux pe
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