Dans le cadre de la prise en charge des patients atteints d’un adénocarcinome canalaire du pancréas, l’IRM possède un atout de taille : « Clairement, son principal avantage est sa résolution en contraste élevée, déclarait Marc Zins lors de la session du RSNA 2018 consacrée à l’imagerie pancréato-biliaire. La perceptibilité de la lésion est meilleure par rapport au scanner. » En revanche, la modalité possède également des limites, notamment une résolution spatiale moins élevée qu’au scanner : « La reproductibilité de l’IRM est également plus basse par rapport au scanner. Il faut admettre que c’est un inconvénient. ».
La séquence de prédilection
Pour la détection des tumeurs pancréatiques, l’IRM montre d’excellents résultats avec une sensibilité moyenne de 90 %. Comme l’explique Marc Zins, la meilleure séquence, celle qui offre la meilleure perceptibilité, est à la phase artérielle. Pour illustrer ce constat, il cite les résultats d’une étude parue dans Abdominal Imaging en 2015 : « La séq
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