Pour développer et valider leurs systèmes d’intelligence artificielle en imagerie, les chercheurs ont besoin de quantités massives de clichés, annotés par des professionnels. L’université Stanford, en Californie, l’a bien compris, qui a mis en ligne en janvier 2019 une base de données de 224 316 radiographies thoraciques baptisée CheXperts. Des images collectées de manière rétrospective entre 2002 et 2017 à l’hôpital de Stanford auprès de 65 240 patients.
14 critères d’observation
Chacune est étiquetée comme « positive », « négative » ou « incertaine » pour 14 critères d’observation, grâce à un programme capable d’analyser comptes rendus non structurés. Lui aussi est disponible en ligne. « L’interprétation automatisée des radiographies pulmonaires pourrait procurer des avantages substantiels dans de nombreux domaines, de l’amélioration du flux de travail à l’aide à la décision, en passant par le dépistage à grande échelle », écrit l’université.
Une compétition d’algorithmes
En plus de cett
Discussion
Aucun commentaire
Commenter cet article