Depuis le début du déconfinement, les services hospitaliers et les cabinets de ville reprennent peu à peu leur activité « normale ». Pour accueillir à nouveau les patients non COVID, les structures d’imagerie se sont adaptées aux contraintes sanitaires imposées par le virus SARS-CoV-2.
Une seconde vague de patients non COVID
Après la vague épidémique, et avant même le déconfinement officiel, l’activité reprenait déjà son cours de façon progressive dans le Grand-Est. Depuis début avril, le COVID laisse peu à peu la place aux autres pathologies. Certains médecins craignent désormais une seconde vague : celle des patients non COVID qui avaient peur de venir à l’hôpital pendant l’explosion épidémique. « Nous nous retrouvons maintenant avec des grosses pathologies infectieuses digestives, des pathologies vésiculaires, des bronchopneumonies bactériennes, ou encore des lésions cérébrales qui se manifestent par des céphalées, mais que les gens ont laissé traîner, observait le 10 avril Michel Sch
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