Rendre l’IRM accessible à tous et (presque) partout. C’est l’ambition que nourrit Siemens avec sa Magnetom Free.Max, la première représentante de sa gamme High-V MRI. « Nous voulons casser les barrières de la résonance magnétique, qui exclut aujourd’hui certains patients, structures et applications », a expliqué Arthur Kaindl, vice-président exécutif IRM de la firme, en conférence de presse, le 18 novembre 2020.
0,5 T et réseau de neurones
Comment ? « D’abord en combinant un champ de 0,5 Tesla avec les dernières avancées de la numérisation. » Ce champ magnétique réduit, associé à des logiciels d’intelligence artificielle et de reconstruction, améliore « de façon considérable » l’imagerie des poumons, ainsi que celle des patients implantés en limitant les artefacts de susceptibilité magnétique, promet Siemens. « Grâce à des solutions telles que Deep Resolve, qui utilise un réseau de neurones pour générer des images de haute résolution à partir d’un signal entrant plus faible, nous pouvons
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