L’IRM était au centre des débats le 30 novembre, lors de la session du Congrès de la RSNA consacrée à la sécurité et à la qualité des examens pédiatriques. Comme le souligne Michael Gee, radiopédiatre au Massachusetts General Hospital de Boston, cette modalité est en effet de plus en plus privilégiée pour les examens des enfants. « Son utilisation augmente pour les jeunes patients qui présentent des pathologies thoracoabdominales, note-t-il. Cela s’explique notamment par les inquiétudes concernant les effets de l’irradiation au scanner. »
Une prise en charge différente selon les âges
Les examens d’IRM restent cependant complexes à réaliser sur les enfants éveillés. La coopération des patients varie selon les âges. Les nouveau-nés restent immobiles une fois nourris et emmaillotés et les enfants de plus de six ans sont assez grands pour comprendre les instructions de ne pas bouger pendant l’examen et d’adapter leur respiration. « En revanche, pour les patients qui ont entre trois mois et s
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