Porté par les équipes de Paul Hofman et Charles-Hugo Marquette, respectivement, anatomocytopathologiste et pneumologue au CHU de Nice, le projet AIR a évalué sur 3 ans l’efficacité d’une technique de détection par test sanguin des cellules tumorales circulantes (CTC) pour dépister le cancer du poumon chez les personnes à risque. Cette étude prospective devait confirmer les résultats de précédents travaux, décrits en 2014 dans la revue PlosOne [1], qui avaient détecté des cellules circulantes non hématologiques (CNHC) malignes dans les échantillons sanguins de 5 patients, lesquels avaient ensuite développé un cancer du poumon.
Compléter ou remplacer le scanner basse dose
Les auteurs avaient alors postulé que leur test sanguin, basé sur la technique d’isolation par taille de la cellule tumorale épithéliale (ISET), pourrait compléter voire remplacer le scanner thoracique basse dose aujourd’hui recommandé pour le dépistage du cancer pulmonaire. Le scanner, expliquent-ils dans Lancet Respirat
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