Les gliomes sont traités en général par résection chirurgicale, suivie d’une radiothérapie ou d’une chimiothérapie. Dans cette approche thérapeutique, « L’IRM est fondamentale pour caractériser ces lésions et guider la stratégie chirurgicale. Elle est aussi requise pour suivre la réponse au traitement », écrivent les auteurs d’une étude internationale, dont les résultats sont parus dans European Radiology [1].
Remédier à l’absence de recommandations
Sabine Heiland et ses confrères ont voulu remédier à l’absence de recommandations pour la pratique clinique en Europe et « développer un protocole d’imagerie qui reflétait les meilleures pratiques ». Ils ont cherché à déterminer si un protocole développé conjointement par l’Organisation européenne pour la recherche et le traitement du cancer et la Société américaine des tumeurs cérébrales (EORTC-NBTS) [2] en 2015 pour la recherche ferait l’affaire en clinique.
Un sondage européen
Pour ce faire, ils ont exploité le compte rendu d’une discussion
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