Rapport IRM

Au Manitoba, 23 semaines d’attente pour passer une IRM

Selon le vérificateur général du Manitoba, les délais d’attente pour faire une IRM est de 23 semaines soit un temps d’attente doublé par rapport aux années antérieures.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 09/06/17 à 11:00, mise à jour hier à 15:27 Lecture 1 min.

Les délais d'attente en IRM ont doublé au Manitoba. (Photo d'illustration). © V. F.

Il n'y a pas qu'en France que les délais d'attente pour une IRM posent problème. Au Manitoba (Canada), « le temps d’attente moyen en vue d’un examen IRM est de 23 semaines, soit deux fois le temps d’attente de 2011 », indique le vérificateur général du Manitoba. Norm Ricard, auditeur général du Manitoba, indique dans un communiqué de presse que « des améliorations étaient nécessaires pour que les services d'IRM soient plus efficaces et opportuns et qu’il existe des lacunes dans la sécurité des patients et l'assurance de la qualité ».

Augmentation de l’anxiété du patient

En juin 2016, 21 323 personnes étaient en attente d'une IRM. Le délai était alors de 23 semaines alors qu’entre 2011 et 2015, le temps d’attente moyen était de 12 semaines. « Des retards dans la réalisation d'une IRM peuvent entraîner des retards dans le diagnostic définitif, le traitement approprié et les temps d'attente excessifs peuvent augmenter l'anxiété du patient et avoir un impact négatif sur la qualité de vie »,

Il vous reste 53% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Virginie Facquet

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Sur le même thème

Le fil Docteur Imago

05 Sep

16:07

Les patientes atteintes de malformations artérioveineuses cérébrales non rompues avec une localisation occipitale sont plus susceptibles d’avoir des maux de tête. L’angiographie quantitative par soustraction numérique peut quantifier objectivement les changements hémodynamiques dans les maux de tête liés au MAV non rompues. (étude).

13:12

La fédération des médecins de France organise un colloque sur la place de l'IA en médecine libérale le vendredi 12 au samedi 13 septembre à Paris.

7:30

04 Sep

15:00

Dans le cancer du sein précoce, l'échographie injectée préopératoire combinée à l'injection intralymphatique de bleu de méthylène et l'administration intracutanée d'indocyanine verte pendant l'intervention chirurgicale, permet une identification précise du ganglion sentinelle et une prédiction des métastases, conclut une étude chinoise. Une approche à même de limiter le nombre de résections inutiles de ganglions, selon les chercheurs.
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR