« Au début de la pandémie, le pays a été pris par surprise. Il y avait très peu d’informations, un manque d’équipement, un manque d’expertise et un manque d’expérience. Cependant, l’infrastructure locale a très bien réagi et était prête à donner un rôle très proactif à l’imagerie, dans un contexte d’absence quasi-totale de tests. » C’est ainsi qu’Alexander Bankier, radiologue cardiothoracique à l’Umass Memorial Medical Group, dans le Massachusetts, a entamé son témoignage sur la réponse de l’imagerie à la pandémie de Covid-19 aux États-Unis, le 5 octobre 2020 aux Journées francophones de radiologie.
Une pandémie de « pseudo-information »
Outre-Atlantique, il existe plusieurs niveaux de pouvoir et d’autonomie dans l’organisation des soins : la politique fédérale, celle des états, la politique communale et la réalité locale, rappelle-t-il. « Ces différents niveaux ne forment pas une hiérarchie : ils fonctionnent de manière indépendante entre eux. ». Après 7 à 10 jours dans la crise sanitai
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