Relation avec le patient

« Communiquer pour améliorer la pertinence est un effort quotidien »

Lors de la journée sur la pertinence en imagerie organisée par Docteur Imago, Laurence Rocher, radiologue à l’hôpital Bicêtre (AP-HP), a abordé le sujet de la communication avec le patient autour de la pertinence. Un thème qu’elle juge délicat et complexe et qui réclame de l’investissement.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 10/04/19 à 7:00, mise à jour aujourd'hui à 15:18 Lecture 3 min.

La radiologue Laurence Rocher a présenté des situations du quotidien qui illustrent l'importance de la communication avec le patient autour de la pertinence. © C. F.

Vendredi 5 avril 2019, la première édition des Rendez-vous de Docteur imago, consacrée à la pertinence en imagerie médicale a invité Laurence Rocher, radiologue à l’hôpital Bicêtre – AP-HP et coresponsable du groupe de travail « information au patient » au sein de la Société française de radiologie, à s’exprimer sur le thème de la communication sur la pertinence. Elle a choisi de présenter plusieurs situations vécues au sein de son service. Des « cas de la vraie vie » auxquels les radiologues sont confrontés de façon régulière.

Une jeune patiente mécontente

Elle a notamment cité l’exemple d’une jeune fille de 15 ans, venue au bureau des rendez-vous quelques semaines plus tôt. « Elle avait des douleurs abdominales depuis un an. L’examen clinique était a priori normal et l’ordonnance demandait un scanner abdominopelvien, rapporte-t-elle. Comme le médecin traitant n’était pas joignable, j’ai proposé à la jeune patiente et à sa mère de faire dans un premier temps une échographie le lendemain

Il vous reste 77% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

05 Sep

16:07

Les patientes atteintes de malformations artérioveineuses cérébrales non rompues avec une localisation occipitale sont plus susceptibles d’avoir des maux de tête. L’angiographie quantitative par soustraction numérique peut quantifier objectivement les changements hémodynamiques dans les maux de tête liés au MAV non rompues. (étude).

13:12

La fédération des médecins de France organise un colloque sur la place de l'IA en médecine libérale le vendredi 12 au samedi 13 septembre à Paris.

7:30

Docteur Imago

GRATUIT
VOIR