« C’est une crise grave pour notre spécialité, peut être le moment le plus déterminant que j’ai connu en 40 ans de carrière ». Louis Boyer, président du conseil national professionnel des radiologues (G4) d’ordinaire plutôt pondéré, ne mâche pas ses mots en ouverture de la « session exceptionnelle sur les affaires professionnelles », organisée ce vendredi 3 octobre aux Journées francophones de radiologie (JFR) autour du thème « Comment financer la sécurité et la qualité des soins radiologiques ? ».
Une conférence commune
Sur la scène, les représentants de la Société française de radiologie, de la Fédération nationale des médecins radiologues, du syndicat des radiologues hospitalier et du Collège des enseignants en radiologie de France, les quatre composantes du G4, se succèdent pour battre en brèche les analyses et recommandations du rapport IGAS-IGF sur les dépenses d’imagerie, dénoncer les baisses de tarifs qui s’annoncent et présenter leurs pistes d’économie. L’occasion aussi d’affirm
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