En 2018, l’état de la radioprotection est resté « stable » dans le milieu médical, d’après l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Les professionnels prennent en compte la radioprotection de façon « globalement satisfaisante », a constaté le nouveau président de l’instance, Bernard Doroszczuk, lors de ses vœux à la presse, le 29 janvier.
L’interventionnel reste au centre des préoccupations
Comme les années précédentes, les pratiques interventionnelles radioguidées restent le point noir. Dans ce domaine, les améliorations sont insuffisantes, aussi bien pour la radioprotection des patients que des professionnels, juge l’ASN. « Globalement, cela se passe mieux dans les environnements de radiologie interventionnelle que dans les blocs opératoires. Là, il y a un problème d’appropriation de la culture de la radioprotection et un manque de formation initiale, notamment chez les chirurgiens », remarque Philippe Chaumet-Riffaud, commissaire spécialisé dans le domaine médical. L’ASN a donc concentré
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