Équipement lourd

Radiologues toulousains et ARS s’affrontent sur l’exploitation d’un scanner

À Toulouse, des radiologues s'opposent au refus de l'ARS Occitanie d'exploiter leur second scanner dans un contexte d'état d'urgence sanitaire. La justice a été saisie et a sommé l'ARS de réexaminer la demande du centre d'imagerie.

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Le 17/12/20 à 8:00, mise à jour aujourd'hui à 15:12 Lecture 3 min.

Le centre d'imagerie du Parc à Toulouse conteste le refus d'exploitation émis par l'ARS Occiatnie pour son second scanner. ©Centre d'imagerie du Parc

La bataille continue à Toulouse. Depuis plusieurs mois, les radiologues du centre d’imagerie de la Clinique du Parc tentent de conserver leur second scanner malgré le refus d’exploitation délivré par l’ARS Occitanie.

Une autorisation accordée en mars

Comme nous l'expliquions dans un précédent article, cet imbroglio remonte au mois de février 2020, au moment où le centre d’imagerie avait dû se séparer de l’un de ses scanners suite à une fusion d’établissements. Mais la crise de la Covid-19 est venue rebattre les cartes, et au printemps, deux filières distinctes deviennent nécessaires pour prendre en charge les patients. Le radiologue Christian Quesnel, responsable du centre d’imagerie, se démène pour récupérer son scanner : « Avec mes collègues, nous avons demandé la réinstallation du deuxième scanner en urgence car on ne pouvait pas mélanger les patients. D’emblée, ça a été accepté. L’argument majeur est que nous étions en première ligne de la médecine de ville. » L’autorisation de l’ARS

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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