Éditorial

Travailler ensemble

Certes, les modes et les montants des rémunérations sont différents. Certes, certains doivent assurer la permanence des soins et pas d’autres. Certes, les uns ont la nécessité de créer leur propre cadre d’exercice, quand d’autres peuvent s’appuyer sur un statut « tout fait ». Il n’est pas rare qu’on différencie – voire qu’on oppose – les radiologues

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Le 01/10/18 à 7:00, mise à jour aujourd'hui à 15:18 Lecture 1 min.

Les plateaux d’imagerie médicale mutualisés (PIMM), créés par la loi de santé de 2016, représentent un nouvel outil pour permettre aux radiologues de travailler ensemble. Ici, celui de Melun. © Carla Ferrand

Certes, les modes et les montants des rémunérations sont différents. Certes, certains doivent assurer la permanence des soins et pas d’autres. Certes, les uns ont la nécessité de créer leur propre cadre d’exercice, quand d’autres peuvent s’appuyer sur un statut « tout fait ». Il n’est pas rare qu’on différencie – voire qu’on oppose – les radiologues d’exercice libéral aux radiologues d’exercice hospitalier.

La coopération entre radiologues aux modes d'exercices différents n'est pas une utopie.

S’il était besoin de le rappeler, l’expérience du terrain le prouve : la coopération entre les radiologues aux modes d’exercice différents n’est pas une utopie. À chacun sa spécificité, à chacun ses missions. Mais moyennant « un peu » d’organisation de l’offre de soins en amont, certains compromis et beaucoup de dialogue, tout peut se faire en bonne entente, pour le bénéfice des professionnels de santé concernés, des établissements de santé et des patients.

Un nouvel outil

Les plateaux d’imagerie méd

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Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

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