Si le choix de Laurence Rocher s’est porté sur une carrière médicale, c’est avant tout pour exprimer son besoin de relations humaines à travers une discipline scientifique. « En parallèle de mes études de médecine, j’étais inscrite en prépa commerce, raconte-t-elle. Mais une amie m’a dit que je n’étais pas faite pour ça, et elle avait tout à fait raison ! J’avais besoin de relations plus authentiques avec les gens. »
Le patient dans sa globalité
Dans la radiologie, elle a trouvé une spécialité qui offre une vision intégrale du patient : « Je voulais une discipline qui ne soit pas complètement focalisée sur un organe ou une thématique. Je voulais prendre les patients dans leur globalité. J’ai donc choisi la radiologie pour rester dans une discipline généraliste. » Aujourd’hui spécialisée en imagerie urologique, Laurence Rocher garde toutefois ses réflexes de radiologue généraliste. « C’est bien d’avoir un domaine de compétence, mais c’est important d’avoir aussi la synthèse du patient. On
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