Lors d’une session du congrès de la SIMS consacrée aux myopathies congénitales, métaboliques, iatrogènes et de la senescence, Jean-Baptiste Pialat, radiologue aux Hospices Civils de Lyon, a décrit les avantages et les inconvénients des différentes modalités d’imagerie pour l’évaluation de la sarcopénie.
Une pathologie complexe et multifactorielle
L’intervenant a entamé sa présentation en rappelant que la sarcopénie est une maladie très complexe, multifactorielle, progressive et généralisée qui a d’importantes conséquences sur la condition du patient (chutes, fractures, handicap physique) et peut aller jusqu’au décès. « Les trois éléments fondamentaux sont : la perte de masse ou de qualité musculaire, la perte de la force musculaire et le retentissement sur les performances physiques, énumère-t-il. Il faut bien avoir cela en mémoire lorsque l’on va définir la sarcopénie. En tant qu’imageurs, notre rôle est d’observer cette perte de volume ou de qualité musculaire pour confirmer le diagnos
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