Pour Franck Clarot, la médecine et la radiologie n’ont pas été des évidences, mais plutôt des passions à fermentation lente. « Je ne fais pas partie des gens qui ont une vocation ancrée depuis l’enfance. Dans ma famille, personne n’est médecin. Je n’ai pas grandi dans ce milieu », confie-t-il. Au lycée, il s’intéresse à la biologie et aux sciences du vivant, et tente médecine. « J’étais parti pour faire de l’endocrinologie ou de la neurologie. Finalement, il y avait un poste d’interne en radiologie à Rouen et j’ai fait le choix de la transversalité. » Mais l’imagerie médicale ne correspond pas encore à ses aspirations : « La radiologie ne satisfaisait pas mon envie de voir des gens, alors je me suis tourné vers la médecine légale. J’ai fait les deux diplômes en parallèle. »
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À la fin de son cursus, Franck Clarot a des ambitions universitaires. Il prend un poste de clinicat en médecine légale au CHU de Rouen et s’imagine déjà PU-PH. Pourtant, après 12 ans de médecine légale
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