Des chercheurs du Far Eastern Memorial Hospital, à Taipei (Taiwan) ont voulu évaluer la précision du signe de regroupement d’agent de contraste (Contrast agent pooling, CAP) pour prédire l’imminence d’un arrêt cardiaque, et l’association de ce signe avec la survie du patient. Décrit pour la première fois en 2002, le signe de CAP a été observé chez des patients atteints de diverses pathologies, dont la dissection aortique, l’embolie pulmonaire ou l’infarctus du myocarde. Il n’a toutefois, à la connaissance des auteurs, fait l’objet que de case reports et de séries de cas.
Une étude rétrospective sur 128 patients
Leur étude de cohorte rétrospective, qu’ils présentent dans la revue BMC Emergency Medicine [1], a inclus 128 patients. Ces patients se sont rendus au service des urgences, ont passé un scanner avec injection de PDC et ont ensuite fait un arrêt cardiaque entre le 1er janvier 2016 et le 31 décembre 2018. Les chercheurs ont collecté les données démographiques et cliniques des patien
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