Lors du congrès de la Société française de neuroradiologie (SFNR) le 13 mars dernier, Aline Carsin, radiologue pédiatrique à Reims, a presenté une session dédiée à l’imagerie orbitaire tumorale de l’enfant. Ces masses orbitaires sont souvent de nature bénigne, a-t-elle rassuré. Parmi elles, les plus fréquentes sont les kystes dermoïdes/epidermoïdes et les hémangiomes infantiles, découverts de manière fortuite ou après l’apparition d’une exophtalmie, précise l’intervenante. Toutefois, la radiologue alerte : « notre crainte à chaque fois doit être l’étiologie maligne, en particulier le rhabdomyosarcome. »
« Un trio d’imagerie »
Face à ces diagnostics, Aline Carsin recommande de réaliser « un trio d’imagerie » avec dans un premier temps en binôme, l’échographie et l’IRM, avec d’un côté « l’IRM, qui est la méthode de référence et l’échographie qui va être notre examen de débrouillage, et qui va nous apporter des informations complémentaires », explique la praticienne. Ensuite le scanner inte
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