« Il faut considérer ces IA comme des outils et non comme une finalité »
Arshid Azarine, radiologue chef de l’unité d’imagerie cardiovasculaire aux hôpitaux Paris-Saint-Joseph – Marie-Lannelongue
En radiologie cardiovasculaire, on travaille beaucoup avec des outils qui emploient l’IA pour améliorer la qualité des images. L’imagerie cardiovasculaire prend beaucoup de temps, à l’acquisition comme au post-traitement. Pour l’acquisition, en scanner, on utilise l’IA pour moins irradier les patients, et on obtient de belles images en retrouvant ce qu’on observait à plus haute irradiation. En IRM aussi, l’IA sert à aller plus vite avec des séquences plus rapides. Quant au post-traitement, faire tous les post-traitements à la main est chronophage, pénible et rébarbatif, et n’attire pas les jeunes collègues. Avoir un outil d’IA à la place nous permet donc d’aller plus vite sur pas mal de mesures.
Il y a du bon et du mauvais à utiliser ces IA. D’un côté, cela permet d’aller plus vite. De l’autre, e
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