La sclérose en plaques (SEP) touche environ 2 millions de personnes dans le monde selon la ligue française contre cette pathologie (LFSEP). L’IRM est la modalité la plus utilisée pour poser le diagnostic. « Les images d’IRM offrent un contraste élevé entre les principaux types de tissu cérébral, à savoir les substances grise et blanche et le liquide céphalorachidien », indiquent les ingénieurs du Holon Institute of Technology (HIT) et de l’université Bar-Ilan (Israël).
Entre 500 et 700 images par examen
Le défaut, soulignent-ils, c’est que le protocole de diagnostic actuel consiste à analyser les images une par une pour identifier la présence de lésions caractéristiques. Chaque examen d’IRM produisant de 500 à 700 images, le processus de diagnostic est, de fait, « long et compliqué »
Quatre algorithmes combinés
Dans un article publié dans la revue Applied Sciences [1], ces scientifiques proposent une méthode plus efficace et plus rapide. Elle s’appuie sur quatre algorithmes pour détecter a
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