Savoir ce qu’est l’intelligence artificielle, c’est bien. Savoir à quoi elle sert, c’est encore mieux. Gaël Dournes, radiologue à l’hôpital Haut-Lévêque de Bordeaux, a épluché la littérature scientifique sur le sujet, et dressé l’inventaire des dispositifs qui fonctionnent, de ceux qui demandent encore un peu de travail et des autres. Il a présenté ses conclusions dimanche 14 octobre, aux Journées francophones de radiologie. « L’IA va arriver, c’est sûr. Il est important de comprendre ce qui se fait et d’avoir un regard critique sur les études dans ce domaine », a-t-il expliqué en préambule, en se désignant comme un béotien en la matière.
L’IA détecte bien les anomalies…
Au rayon des applications qui marchent, il classe celles qui détectent les anomalies. Elles sont déjà nombreuses et devraient s’installer rapidement en pratique quotidienne, juge-t-il. Exemple typique : l’évaluation de l’âge osseux à partir d’une radio du poignet. « Il n’y a qu’une seule image en 2D, c’est très simple. L

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Dewispelaerechers collègues, il faut tout simplement envisager pour les plus jeunes de changer de métier.
l'IA est bien supérieure à l'humain.
Il faudra toujours fabriquer les examens : cela demandera beaucoup moins de radiologues.
Heureusement qu'il reste la radiologie interventionnelle. Où l'homme/ la femme se sert de la machine. Mais n'est pas près d'être remplacé par elle :-)
Il y a 7 ans
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