L’accréditation de la discorde

Le Comité français d’accréditation (COFRAC) travaille sur un référentiel d’accréditation des structures d’imagerie médicale. Pour l’organisme, il s’agit de proposer « un outil de management pour assurer la qualité du service rendu », basé sur le volontariat, à l’instar de celui qui existe pour les laboratoires de biologie médicale. Présenté à l’automne 2018, le projet se heurte à l’opposition du Conseil national de la radiologie française (G4), qui lui préfère les systèmes de labellisation et certification déjà existants ou en cours d’élaboration. Ce dossier fait le point sur les raisons de la polémique et les enjeux de l’accréditation, alors que l’Autorité de sûreté nucléaire s’apprête à instaurer une obligation de contrôle qualité en radiologie.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 11/01/19 à 12:00, mise à jour hier à 14:07

Le fil Docteur Imago

11 Déc

7:18

L’administration de glucagon et d’hyoscine-butylbromure ainsi que le volume de la vessie, n’ont montré aucune association significative avec les artefacts de mouvement lors de l’IRM prostatique T2W. De fait l’utilisation régulière d’antispasmodiques et le vidage de la vessie peuvent être reconsidérés lors de l’IRM prostatique, indique une revue systématique qui souligne la nécessité de stratégies de dosage personnalisées en scanner avec contraste amélioré.

7:30

Une étude a quantifié l'ampleur et l'évolution de l'utilisation des produits de contraste chez les bénéficiaires du programme Medicare aux États-Unis (environ 13,5 milliards de mL administrés entre 2011 et 2024). Elle montre également qu'une catégorie d'examens d'imagerie représente la majeure partie de ce volume.
09 Déc

16:00

L'entreprise Agfa annonce la suppression de 145 postes en Belgique, due à l'accélération du déclin du film radiologique sur le marché mondial (communiqué).
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR