Problématique et fondamentaux
Introduction
L’angioscanner des artères pulmonaires pour recherche d’embolie pulmonaire (EP) (figure 1) fait partie de l’activité quotidienne d’un service d’imagerie. Avec une large majorité d’examens contributifs, c’est l’examen de référence [1, 2]. Après avoir travaillé sur l’optimisation de cet examen chez la femme enceinte (revue Le Manipulateur, février 2017, n° 261), nous nous sommes intéressés aux autres catégories de patients chez lesquelles le rehaussement de contraste dans les artères pulmonaires est régulièrement moindre, voire insuffisant, c’est-à-dire souvent en dessous de 250 UH. C’est le cas en premier lieu chez les patients « jeunes » (et/ou sportifs !), chez les patients corpulents ou obèses, chez les patients drépanocytaires, ainsi que chez ceux qui gardent les bras le long du corps pendant l’examen.
Notre service possède deux scanners (DefinitionAS+® de Siemens et Revolution HD® de General Electric) avec deux injecteurs OptiVant
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