Passer un examen d’IRM relève dans certains cas d’une véritable épreuve de patience. Des chercheurs de l’Université d’Arizona (États-Unis) se sont penchés sur la problématique de la durée d’acquisition et développent actuellement un projet de recherche pour mettre au point une technique qui permettrait de réaliser un examen IRM en 15 minutes, au lieu de 40 à 60 minutes habituellement. Une avancée technologique qui bénéficierait notamment aux malades de Parkinson.
Réduire les artefacts de mouvement
Pour ce projet, l’équipe universitaire menée par Nan-kuei Chen, chercheur au sein du département d’ingénierie biomédicale, s’est appuyée sur la technique IRM MUSE (pour multiplexed sensitivity-encoded MRI) et l’imagerie du tenseur de diffusion. Leur technologie permettrait ainsi de réduire les artefacts de mouvement et d’intégrer de nombreuses données IRM, telles que des informations sur les niveaux de fer, le volume de la substance grise et la connectivité de la substance blanche, détaille l’U
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