Des chercheurs américains ont réalisé une étude pour démontrer l'association entre l'épaisseur de la paroi coronarienne mesurée à l'IRM et le risque de coronaropathie dans les groupes asymptomatiques à risque faible et intermédiaire, sur la base du score de Framingham.
Un coroscanner et une IRM
L’inconvénient du score de Framingham, qui fournit des estimations du risque d’événement cardiovasculaire à 10 ans, est qu’il a tendance à sous-estimer les risques chez les femmes asymptomatiques. L’étude, décrite en mai 2019 dans Radiology : Cardiothoracic Imaging [1], a inclus 62 hommes et 62 femmes, d’un âge moyen de 45 ans, dont le score de Framingham était faible ou intermédiaire de moins de 20 %. « Les patients ont tous passé un coroscanner pour évaluer la coronaropathie, et l’épaisseur de la paroi coronarienne a été mesurée à l'IRM 3 T », précisent les auteurs.
Une nouvelle technique d’IRM
Khaled Abd-Elmoniem, chercheur au sein du National Institutes of Health (NIH), à Bethesda (Maryland), a
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