Bonne pour certains diagnostics, bonne pour le dépistage, l’intelligence artificielle (IA) pourrait-elle aussi optimiser la qualité et la sécurité des examens d’imagerie ? Une session du Congrès européen de radiologie (ECR) a débattu de cette question le 3 mars 2019.
Convertir la basse résolution en haute résolution
En ouverture, Christoph Hoeschen, physicien médical et professeur à l’université de Magdeburg (Allemagne), a listé ce qu’il considère comme les principaux enjeux en imagerie : la réduction du bruit, la réduction de la diffusion ou encore la reconstruction d’images. Autant de potentiels champs d’application de l’IA. « Pour le scanner, l’apprentissage profond peut par exemple être utilisé pour replacer des données manquantes et ainsi convertir des images basse résolution en images haute résolution », indique-t-il.
L’IA s’intéresse peu à la radioprotection
Pour sa part, Guy Frija, radiologue à l’hôpital européen Georges-Pompidou (Paris) et président du comité de pilotage Eurosafe
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