La radioprotection des patients s’est maintenue à un bon niveau en 2019, annonce l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). « Le nombre d’événements déclarés est très faible au regard du nombre d’actes réalisés et de leur complexité », a déclaré Bernard Doroszczuk, son président, lors de ses vœux à la presse jeudi 23 janvier.
Le manque de personnel menace la radioprotection
« Nous avons enregistré 4 événements significatifs de radioprotection de niveau 2 en radiothérapie pour 200 000 patients », détaille Philippe Chaumet-Riffaud, commissaire spécialisé dans le domaine médical. Dans au moins un cas, explique-t-il, l’incident serait la conséquence d’un manque de personnel qualifié sur place : « La situation est tendue dans certains services, qui manquent notamment de manipulateurs d’électroradiologie médicale (MERM). »
Les blocs opératoires dans le viseur
Le problème touche aussi les pratiques interventionnelles radioguidées. « Dans ce domaine, il faut distinguer les services de neurologie ou de
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