Le 13 septembre 2019, la Société francophone d'imagerie pédiatrique et prénatale (SFIPP) a consacré une session de son congrès annuel aux dysraphismes et dysostoses rachidiennes. Durant cette séance, Marianne Alison, chef du service d’imagerie pédiatrique de l’hôpital Robert-Debré – Assistance publique – Hôpitaux de Paris, a présenté l’apport des différentes modalités d’imagerie pour le diagnostic et le suivi des malformations rachidiennes.
Des malformations uniques ou multiples
Les malformations vertébrales sont relativement fréquentes, en majorité asymptomatiques et de découverte fortuite, a-t-elle rappelé en introduction. « Ces malformations peuvent être uniques ou multiples, s’associer à des syndromes ou non. Les points d’appel sont variés : ce seront principalement des anomalies de la statique rachidienne, des présentations neurologiques et parfois des présentations syndromiques », décrit-elle.
Des origines toxiques et génétiques
Ces malformations sont toujours des anomalies de dévelo
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