JFR de printemps

Comment le COVID-19 a interrogé les organisations territoriales en radiologie

Une table ronde des JFR de printemps s'est intéressée à la place des organisations territoriales pendant la crise sanitaire. Les participants ont suggéré plusieurs initiatives pour simplifier les organisations et laisser la main aux professionnels de santé, hospitaliers et libéraux.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 11/06/20 à 7:00, mise à jour hier à 15:13 Lecture 4 min.

Pour Dominique Maigne (en bas à droite), président de l’Agence nationale d'appui à la performance et invité à la table ronde, le COVID-19 a révélé un chemin à suivre en termes d’organisation territoriale : « Il faut se coordonner, s’organiser et donner la main aux professionnels. » D. R.

Organisée par Jean-Yves Gauvrit, chef du service de radiologie du CHU de Rennes (35), une table ronde des Journées francophones de radiologie de printemps a voulu « mettre en lumière, au niveau du territoire, le rôle contributif de la radiologie ». Cette question a pris une tonalité particulière dans le cadre de la réponse à la pandémie du COVID-19.

Capacité de l’imagerie à se réorganiser

Pour Jean-François Meder, le président de la Société française de radiologie, la crise sanitaire du COVID-19 a été un catalyseur. « Elle a mis en lumière la capacité de l’imagerie à se réorganiser et à apporter une réponse adaptée, en particulier sur le terrain », affirme-t-il. S’il déplore l’absence de masques, de respirateurs, de machines et de moyens de les désinfecter, il constate que l’imagerie médicale a fonctionné : « Nous nous sommes mobilisés, avec un élan de solidarité exemplaire. » Côté organisationnel, il suggère de supprimer le « millefeuille » administratif, qu’il considère comme « rédhibi

Il vous reste 83% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Avatar photo

Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

22 Mai

11:55

Le CH François-Quesnay de Mantes-la-Jolie (78) a ouvert une activité de thrombectomie mécanique pour la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dans l’Ouest francilien, annonce l’hôpital sur Linkedin.

7:45

Les grands modèles de langage (LLM) tels que ChatGPT d’OpenAI et Gemini de Google sont vulnérables aux menaces de cybersécurité et des mesures de sécurité sont nécessaires pour éviter qu’ils ne soient utilisés à des fins malveillantes dans le système de santé, rapporte une étude publiée dans Radiology : Artificial intelligence.
21 Mai

16:31

Un plateau d’imagerie médicale équipé d’un scanner, de deux IRM, ainsi que d’une salle de mammographie, de deux salles de radio et trois salles d’échographie, devrait voir le jour à Châteaulin dans le Finistère d’ici 2028, annonce Ouest France.

13:30

Deux marqueurs visibles à l’IRM, le HARM et le GLOS, témoignent d’une fuite de gadolinium dans le liquide céphalorachidien après un AVC, mais leur interprétation reste limitée par des méthodologies d’études non standardisées. Une étude parue dans Neuroradiology, souligne l’importance d’une exploration plus détaillée de leur localisation, de leur étendue ou de leur gravité pour affiner leur rôle dans le diagnostic et le suivi des troubles neurovasculaires.
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR