Organisée par Jean-Yves Gauvrit, chef du service de radiologie du CHU de Rennes (35), une table ronde des Journées francophones de radiologie de printemps a voulu « mettre en lumière, au niveau du territoire, le rôle contributif de la radiologie ». Cette question a pris une tonalité particulière dans le cadre de la réponse à la pandémie du COVID-19.
Capacité de l’imagerie à se réorganiser
Pour Jean-François Meder, le président de la Société française de radiologie, la crise sanitaire du COVID-19 a été un catalyseur. « Elle a mis en lumière la capacité de l’imagerie à se réorganiser et à apporter une réponse adaptée, en particulier sur le terrain », affirme-t-il. S’il déplore l’absence de masques, de respirateurs, de machines et de moyens de les désinfecter, il constate que l’imagerie médicale a fonctionné : « Nous nous sommes mobilisés, avec un élan de solidarité exemplaire. » Côté organisationnel, il suggère de supprimer le « millefeuille » administratif, qu’il considère comme « rédhibi
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