Leur combat contre le COVID-19 a mis en veille leur mouvement mais n’a pas affaibli leur détermination. Bien au contraire. La journée du mardi 16 juin a marqué le retour en fanfare de la mobilisation des personnels hospitaliers. À Rouen, Toulouse, ou Paris, les manifestants se sont réunis devant les établissements de soins, et les cortèges ont sillonné les rues pour clamer leurs revendications sous les fenêtres des agences régionales de santé. Dans la capitale, des milliers de manifestants s'étaient donné rendez-vous devant le ministère de la Santé, avenue de Ségur, qui a donné son nom aux concertations sur le devenir de l'hôpital.
Les manips grossissent les rangs
Les manipulateurs radio étaient présents pour porter la voix des services d'imagerie. « Nous avons toujours les mêmes revendications : revalorisation salariale d'au moins 300 euros, ouverture de lits et recrutements massifs d’effectifs, explique Mathieu Félix, manipulateur radio aux urgences de l’hôpital Purpan (Toulouse) et d
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