JFR de printemps

L’organisation radiologique se cherche un cadre plus flexible

Une table ronde des JFR de printemps fut l’occasion de débattre sur l’organisation des soins radiologiques. Dans ce domaine, les professionnels de l'imagerie demandent plus de souplesse et d'autonomie.

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Le 23/06/20 à 15:00, mise à jour hier à 14:12 Lecture 4 min.

Laetitia May-Michelangeli, responsable du service Evaluation et outils pour la qualité et la sécurité des soins (EVOQSS) à la HAS, a souligné l’importance d’une plus grande autonomie nécessaire aux équipes radiologiques. capture d'écran

L’organisation des soins radiologiques était au cœur des discussions lors d’une session des Journées francophones de radiologie de printemps le 5 juin. Comme le souligne Jean-Michel Bartoli, radiologue à l’hôpital de la Timone à Marseille, la crise du COVID a été l’occasion de démontrer les facultés de la radiologie en matière d’organisation : « La radiologie a apporté une réponse exemplaire, que cela soit en termes de soins, de réorganisation, de recherche, de qualité, de sécurité et de mise en place de base de données, tout cela au bénéfice des patients, se félicite l’intervenant. La crise du COVID a montré que nous avions tous des capacités d’adaptabilité remarquables, sans limiter la qualité. »

Une organisation pyramidale et trop rigide

Au-delà de la situation exceptionnelle de cette crise sanitaire, Jean-Michel Bartoli constate que les modalités d’organisation des soins manquent de flexibilité : « On a toujours l’impression que les initiatives d’organisation, qu’elles soient locales

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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