Opportunités

Comment le manipulateur radio peut se spécialiser en radiopédiatrie

Le congrès européen de radiologie s’est intéressé à la profession de manipulateur en radiopédiatrie. Une intervenante irlandaise souhaitait faire mieux reconnaître ces pratiques avancées, qui relèvent de nombreux défis de prise en charge des petits patients.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 21/07/20 à 7:00, mise à jour hier à 15:06 Lecture 2 min.

Rachael O’Connor, manipulatrice radio de formation et chef de projet en intégration clinique au Children Health Ireland (CHI) à Dublin, a présenté les caractéristiques du manipulateur radio spécialisé en pédiatrie. D. R.

Le congrès européen de radiologie s’est intéressé aux opportunités de carrières pour les manipulateurs radio lors d’une session du 17 juillet 2020. Parmi les trois exemples proposés, Rachael O’Connor, manipulatrice radio de formation et chef de projet en intégration clinique au Children Health Ireland (CHI) à Dublin, a présenté les caractéristiques du manipulateur radio spécialisé en pédiatrie.

Nombreux défis et plaisir de travailler

Cette « spécialisation » de la profession pour la population pédiatrique existe notamment car cette dernière représente de nombreux défis, tels que la radioprotection, la prise en charge des patients et les pathologies rencontrées. « Il ne s’agit pas d’un petit adulte », rappelle Rachael O’Connor. Elle justifie l’intérêt d’une telle spécialisation par l’environnement pluridisciplinaire, le plaisir de travailler avec les enfants, le travail avec plusieurs modalités et un support important du CHI pour les formations autour de ce sujet.

Plus sensibles aux effets

Il vous reste 75% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

OFFRE DÉCOUVERTE

11€

pendant 1 mois
puis 23 €/mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Avatar photo

Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

Voir la fiche de l’auteur

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

17 Mai

16:00

Le constructeur GE HealthCare a dévoilé sa nouvelle IRM 3 T dédiée à l'imagerie cérébrale, spécialement conçue pour « faire avancer la recherche en IRM dans les procédures complexes en neurologie, oncologie et psychiatrie ». L’équipement est en attente de l'autorisation de la FDA et n’a pas encore le marquage CE, annonce GE HealthCare dans un communiqué.

13:30

Le scanner thoracique à très faible dose offre une grande précision dans la détection des anomalies pulmonaires post-COVID par rapport à un scanner à dose standard à moins d’un dixième de la dose de rayonnement. Il constitue donc une alternative pour le suivi des patients post-COVID, conclut une étude parue dans European Radiology.

7:30

Une étude publiée dans The Lancet Regional Health Western Pacific a identifié des anomalies cérébrales sur les IRM de personnes ayant eu des cas modérés à graves de Covid-19. Ces patients continuent de souffrir de troubles cognitifs, de symptômes psychiatriques et neurologiques et d’altérations fonctionnelles cérébrales, même après 2 ans d’infection, suggèrent les chercheurs.
16 Mai

16:01

L'IRM a une meilleure sensibilité et une spécificité égale à l'échographie transvaginale dans le diagnostic de l'endométriose profonde touchant la cloison recto-vaginale, selon une méta-analyse de huit articles portant sur 721 patientes (lien vers l'étude).
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR