Cybersécurité

Évaluer pour mieux sécuriser les services radiologiques dans le cloud

Le Congrès européen de radiologie s'est intéressé à la question de la sécurité des applications radiologiques dans le cloud. Pour Arnon Makori, radiologue à Tel Aviv (Israël), il convient d'évaluer les solutions du côté du fournisseur, du vendeur et de l'application elle-même, en ayant bien connaissance de la réglementation.

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Le 06/03/21 à 16:00, mise à jour hier à 15:12 Lecture 4 min.

Pour Arnon Makori (en haut à gauche), les défis à relever restent nombreux pour la protection des données dans le cloud. Il convient de s’assurer de l’encryptage des données, de leur portabilité, de leur confidentialité dès la conception et de la possibilité de les supprimer. Capture d'écran ECR 2021

De plus en plus d’entreprises proposent aux radiologues des services dans le cloud, que ce soit pour le stockage des images ou pour, notamment, leur traitement informatique. Comment s’assurer qu’ils respectent la réglementation en matière de cybersécurité et de protection des données ? C’est la question à laquelle a répondu Arnon Makori, radiologue et directeur de l’informatique en imagerie de Clalit Health Services à Tel Aviv (Israël), lors d’une session du Congrès européen de radiologie organisée le 4 mars 2021.

Plusieurs types d’infrastructures et de services

L’informatique dans le cloud consiste à rendre disponibles en ligne et à la demande des ordinateurs et des ressources de stockage. L’utilisateur ne gère pas directement le service : il est distribué et partagé auprès de plusieurs centres et clients. Pour le radiologue, il est crucial d’identifier le type de cloud utilisé pour se donner une idée des risques encourus. Il peut s’agir d’un cloud public, privé, hybride ou communautair

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Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

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02 Juin

16:00

L'entreprise Advanced Accelerator Applications a retiré le 9 mai sa demande d'utilisation de Lutathera® (177Lu-DOTATATE) dans le traitement des adultes nouvellement diagnostiqués de tumeurs neuroendocrines gastroentéropancratiques, informe l'Agence européenne des médicaments (EMA). Lutathera® continue toutefois à être autorisé chez les adultes souffrant de tumeurs neuroendocrines gastroentéropancratiques métastatiques ou non résécables qui ne répondent pas au traitement, conformément à la récente étude positive NETTER-2.

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30 Mai

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