Docteur Imago / Selon vous, en quoi les jeunes radiologues se distinguent-ils des générations précédentes dans leur façon d'exercer ?
Frédérick Breittmayer / Au cours de leurs études, internat et clinicat, les jeunes radiologues se sont surspécialisés. Je dirais qu'ils sont globalement moins polyvalents que les radiologues plus anciens et qu'ils ont parfois un peu de mal à sortir de leur zone de confort. Le premier écueil pour nous, c’est donc de trouver des gens polyvalents avec une surspécialité, à qui on donnera les moyens d’exprimer cette surspécialité s’ils le souhaitent. À côté de ça, il faut aussi assumer le quotidien et l’imagerie de proximité. C’est un peu un parallèle entre la médecine générale et la médecine spécialisée. On peut parler de radiologie générale et de radiologie spécialisée. En ville, nous avons besoin de radiologues qui puissent faire de la mammographie, de la radio standard, de l’échographie et des vacations de scanner et d'IRM tout venant, en particulier pour
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