Thérapie photodynamique, photométrie, optogénétique... La recherche biomédicale exploitant le spectre UV-visible est en plein boom. Cependant, il est particulièrement difficile de suivre la distribution de cette lumière thérapeutique dans les tissus profonds, en raison de l’absorption et de la dispersion d’une grande partie de ces rayonnements. Afin de répondre à ce problème, des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont présenté fin décembre 2022 un nouveau type de nano-sonde IRM permettant de cartographier la diffusion de la lumière dans les tissus profonds cérébraux, dans un article paru dans la revue Nature Biomedical Engineering [1].
Des nanoparticules sensibles à la lumière
Les chercheurs ont développé des nanoparticules sensibles à la lumière, en chargeant des liposomes de particules paramagnétiques. « Chaque sonde est constituée d’un réservoir de molécules paramagnétiques entourées d’une membrane liposomale incorporant des lipides photosensibles », précise l’é
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