Dans un article publié dans la revue European Radiology, le comité de sécurité des produits de contraste (PDC) de la Société européenne de radiologie urogénitale (ESUR) présente ses nouvelles recommandations concernant la prévention, le diagnostic et la prise en charge de l’extravasation des produits de contraste au scanner et en IRM [1]. La précédente mouture datait de 2002. Entre-temps, le scanner et l’IRM ont connu des évolutions technologiques, en particulier le développement des agents de contraste iodés non ioniques. Des dispositifs de détection de l’extravasation et des systèmes qui stoppent les injections en cas de problème sont arrivés et de nombreuses études se sont intéressées aux facteurs de risques et à la prise en charge, justifient les auteurs de l’article.
Une incidence de 0,2 %
Pour documenter cette actualisation, ils ont recherché les études parues sur le sujet depuis 1990. Après écrémage, ils en ont retenu 59, dont ils ont évalué les risques de biais et le niveau de pr
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