Docteur Imago / Quelle est la modalité d’imagerie la plus utilisée pour explorer l’hypofertilité masculine ?
Laurence Rocher / La modalité la plus utilisée est l’échographie, qui a l’avantage d’être peu chère et assez facile d’accès. Dans l’imagerie de l’homme hypofertile, on s’intéresse en premier lieu à l’échographie des testicules et du scrotum, et en second lieu aux voies génitales profondes, prostate et vésicules séminales. Il peut y avoir des anomalies des voies génitales profondes qui expliquent ou accompagnent une hypofertilité.
D. I. / Quelle est la place de l’IRM ?
L. R. / L’IRM n’est pas utilisée en routine. Elle peut être utilisée quand on a un problème sur la caractérisation de lésions testiculaires qui peuvent être en lien avec l’hypofertilité. En recherche clinique, l’imagerie de diffusion montre un apport pour séparer les patients qui présentent une azoospermie, soit due à un obstacle, soit à un problème de fabrication.
D. I. / Que recherche-t-on en échographie ?
L. R. / On
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