Encore un exemple de collaboration entre spécialités au service des patients. À l'hôpital Rangueil, CHU de Toulouse (31), les radiologues interventionnels Marie-Charlotte Delchier-Bellec et Séverine Lagarde pratiquent des embolisations de l’artère rénale par cathéter à ballonnet chez des patients atteints de tumeurs du rein transplanté qui s’apprêtent à subir une néphrectomie partielle par voie laparoscopique robot-assistée. Six patients ont déjà bénéficié de cette technique, inaugurée en première mondiale par l’établissement toulousain en 2018 et décrite dans la revue American Journal of Transplantation [1].
Moins d’effets secondaires
Cette méthode mini-invasive a l’avantage d’entraîner moins d’effets secondaires que la dissection du pédicule rénal habituellement pratiquée par les chirurgiens, souligne le CHU de Toulouse dans un communiqué. D’exécution délicate, la dissection peut en effet entraîner des hémorragies lors de sa réalisation. Après déclampage, une revascularisation tardive
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