Lors de la journée FLI-CERF, Maxime Guye, chef de service au sein du Centre de résonance magnétique biologique et médicale (CRMBM) à l’Hôpital de la Timone à Marseille a présenté les premiers retours cliniques sur l’IRM 7 T et livré un premier bilan sur « la réelle utilité » de cette technologie. Le sujet est plus que jamais au cœur de l’actualité, à l’heure où les premiers appareils 7 T marqués des sceaux CE et FDA commencent à arriver sur le marché.
Explorer le cerveau
La structure marseillaise est dotée de cette IRM à très haut champ qui permet d’explorer les mécanismes de plusieurs pathologies cérébrales, telles que l’épilepsie, la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer, la sclérose latérale amyotrophique et la maladie de Parkinson. Comme l’explique Maxime Guye, l’IRM à très haut champ trouve son intérêt dans le gain en signal, en résolution et en contraste. Cependant, la montée en champ ne se fait pas sans quelques ajustements : « Comme les médicaments qui ont une grande effica
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