À l’hôpital des Trois-Chêne de Thônex, en Suisse, l’infiltration lombaire se fait sous IRM 3 T. Vendredi 11 mai, lors du dernier Congrès suisse de radiologie 1, Alex Stockli, manipulateur au sein de l’établissement, a décrit cette technique, ses avantages et ses inconvénients.
Une technique alternative
En pratique courante, les infiltrations lombaires ont lieu sous IRM ouverte, avec un système d’imagerie en temps réel et un écran de contrôle dans la salle d’examen. « Ces conditions offrent un bon accès au patient et un bon contrôle de l’aiguille », explique l’intervenant. L’équipe suisse a cependant voulu tester une alternative : « Notre défi est de rendre ce geste praticable sur une IRM 3 T fermée, avec un accès au patient limité et des images par intermittence. À chaque fois que nous voudrons faire des images du patient, il faudra qu’il soit dans l’aimant. Pour intervenir sur l’aiguille, il faudra le sortir du tunnel. »
Un positionnement inversé
Dans cette procédure, le positionnement du
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