Une étude menée au Canada et en Australie, et parue le 5 mai dans MJA [1], a étudié le type et la fréquence des incidentalomes détectés chez les personnes à risque élevé de cancer du poumon ayant participé à un dépistage du cancer du poumon au scanner à faible dose. « Certains signes fortuits pourraient faciliter la détection précoce de changements cliniquement significatifs, tels que la calcification des artères coronaires et les maladies cardiovasculaires, ainsi que les fractures vertébrales et l’ostéoporose », indiquent les chercheurs. Cependant, la déclaration des constatations fortuites dans les comptes rendus destinés aux médecins traitants n’est pas uniforme, constatent les auteurs de l’étude.
Un programme national de dépistage du cancer du poumon
Les résultats de cette étude interviennent alors que le ministère australien de la Santé prévoit de lancer, d’ici mi-2025, un programme national de dépistage du cancer du poumon, cancer le plus létal en Australie et à l’étranger, informe
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