« Le projet en est à ses débuts mais il est prometteur », estime Françoise Chuburu, enseignante-chercheuse à l’institut de chimie moléculaire de Reims (51). Avec les universités belges de Mons et de Gand, l’établissement élabore un dispositif qui permettra de repérer les plaques d’athérome par IRM. Le principe : une sonde magnétique couplée à un peptide de ciblage, capable de reconnaître les plaques et de s’y fixer.
Soutien européen
Les différentes équipes se sont partagé le travail. « À Reims, nous sommes chargés de la partie imagerie. Il faut développer les bonnes séquences IRM. En Belgique, nos collègues s’occupent de mettre au point la partie sonde/peptide », précise Françoise Chuburu. Une collaboration rendue possible par le financement du fonds européen INTERREG. Ce dernier encourage les projets de recherche partagés entre pays.
Souris génétiquement modifiées
Prochaine étape : les tests sur la souris. « Ce seront des souris génétiquement modifiées et nourries de façon spécifique, car
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