Organisation professionnelle

500 radiologues mutualisent leurs ressources au sein du groupe Vidi

Adieu la CGIM, boujour Vidi. En changeant d’appellation, la Compagnie générale d'imagerie médicale écrit une nouvelle page de son histoire. Moins de deux ans après sa création, le groupe prend de l’ampleur et compte désormais 500 radiologues libéraux répartis dans 27 centres d’imagerie.

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Le 19/10/18 à 11:00, mise à jour aujourd'hui à 15:18 Lecture 1 min.

Alan Guillemot est le président de la société Vidi qui regroupe 500 radiologues libéraux. © C. F.

La Compagnie générale d'imagerie médicale (CGIM) a profité de son assemblée générale du 12 octobre pour annoncer son changement de nom. L’entité s’appelle désormais Vidi (« j’ai vu » en latin), un nom qui n’a pas été choisi au hasard : « les 3 mots-clés "Voir, Comprendre, Soigner" ont été choisis pour illustrer le métier des médecins radiologues au cœur du parcours de soins du patient », indique le groupe dans un communiqué.

Un poids lourd de la radiologie libérale

À ce jour, Vidi compte 500 radiologues associés, « soit plus de 10 % des 4 600 radiologues libéraux », dans 27 centres d’imagerie, actionnaires à parts égales de la société. « Vidi devient le premier groupe national que les radiologues désireux de préserver leur indépendance et la qualité de soins rejoignent dans un esprit de mutualisation des ressources, techniques et intellectuelles », ajoute le communiqué.

L’union fait la force

Lancée en janvier 2017, la CGIM réunissait à l’origine 14 structures d’imagerie - environ 200 radio

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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20 Juin

16:00

La Société européenne de radiologie gastro-intestinale et abdominale (ESGAR) a publié des recommandations pratiques pour le diagnostic et l'évaluation de la réponse au traitement chez les patients souffrant d'une maladie de Crohn luminale. L'entéro-IRM et l'échographie sont les examens radiologiques de première ligne, tandis que le scanner peut être utile en seconde ligne ou dans l'aigu, souligne notamment l'article.

13:30

L'embolisation de l'artère méningée moyenne avec des microparticules pour prévenir la récidive des hématomes sous-duraux chroniques chez les patients déjà traités par chirurgie ne fait pas mieux que la prise en charge standard, selon une étude randomisée multicentrique française (342 patients) parue dans le JAMA. Le professeur de radiologie Laurent Spelle avait déjà indiqué dans nos colonnes des résultats préliminaires négatifs pour cette étude.

7:30

50 personnes ont participé au RI challenge avec 368 posts LinkedIn, a annoncé Mehdi Lebbadi, co-organisateur du défi dédié à mettre en avant la radiologie interventionnelle, que nous avions interrogé à ce sujet. Ces posts ont généré 19 422 « likes », et sont apparus plus de 500 000 fois à l'écran d'utilisateurs LinkedIn. « J'organise actuellement la même chose à l'échelle européenne, juste avant le congrès du CIRSE [la Société européenne de radiologie cardiovasculaire et interventionnelle, NDLR] mi-septembre. L'enthousiasme est déjà palpable », se réjouit le praticien.
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