Les notions de pertinence et de performance économique ont fait session commune samedi 12 octobre 2019 aux Journées francophones de radiologie (JFR). Parmi les intervenants, Olivier Bonnefoy, radiologue en clinique privée à Bayonne (64), s’est employé à démontrer que la première peut pâtir des lacunes de la seconde, en prenant l’exemple de son expérience en oncologie interventionnelle.
Le GHS ne paie pas les consommables
« L’oncologie interventionnelle présente une double problématique, rappelle-t-il. D’abord, il n’y a pas d’actes dédiés, sauf pour le foie. Les actes sont donc classés dans les groupes homogènes de malades (GHM) médicaux, donc peu valorisés. Ensuite, les consommables sont chers. » Dans cette configuration, un centre hospitalier peut s’en sortir car, dans le secteur public, le groupe homogène de séjour (GHS) inclut le salaire du praticien. Ce n’est pas le cas dans le libéral. « Ainsi, une vacation qui comprend une cimentoplastie et une biopsie hépatique en ambulatoire, un
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